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Stade-de-Reims-Paolo92

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13 articles taggés Weber

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2017 Ligue 2 J29 AUXERRE BREST 1-2, le 09/03/2018

L'avant match


2017 Ligue 2 J29 AUXERRE BREST 1-2, le 09/03/2018
Auxerre-Brest. Tacalfred - Weber, l'union de Reims

Les deux amis, qui formaient la charnière centrale «historique» de la dernière décennie à Reims, se retrouvent ce vendredi soir. Anthony Weber (30 ans) côté brestois, Mickaël Tacalfred (36 ans) côté auxerrois. Récit d'une amitié, sans filtre.

Signe de l'empreinte laissée en Champagne, l'Union de Reims a déjà fait le calcul : Mickaël Tacalfred et Anthony Weber, c'est 108 matchs en commun dans la charnière de Reims en six saisons (2010-2016). « C'est un peu le canal historique du club en défense centrale », plaident nos confrères. La fin de l'histoire a laissé un goût d'inachevé aux deux anciens capitaines partis libres, en 2016 (Tacalfred) et 2017 (Weber), « mais ce n'est pas le style de la maison de faire des ovations. Micka, surtout, le méritait... », souffle le second. Restent les images et les annales. Le grand public se souvient des années de Ligue 1, d'un grand aux cheveux courts qui faisait la paire avec un petit coiffé de dreadlocks. Les "historiens" du club retiennent d'abord cette saison parfaite en Ligue 2, avec le retour dans l'élite (2012) et « 38 matchs sur 38 » pour les deux défenseurs centraux. « On était tous les deux dans l'équipe-type UNFP de la saison », ajoute Weber.


La paire n'était pas naturelle au départ, entre ces deux droitiers que six années séparent, associés un peu par hasard... « Micka était latéral quand je suis arrivé, son poste de formation jusqu'à 30 ans, rembobine Weber. Un jour, on a joué ensemble dans l'axe, en Coupe de France à Rennes. Il a fait un match, puis deux et il n'a plus bougé ! »

But pour but rouge pour rouge

La complémentarité a fait le reste. « "Tacal" aime le duel, il a de bonnes cannes et une bonne détente, malgré sa taille moyenne (1,75 m) », sourit le Finistérien. « Lui a la taille (1,90 m). Moi la vitesse, j'allais un peu plus vite », prolonge Tacalfred. Les compères sont surtout deux « bons amis ». Weber vante « un homme en or, calme, le mec qu'il fallait pour me canaliser. » « Je ne sais pas s'il a changé, mais il était très râleur ! » rit l'aîné, entre deux éloges pour son cadet.

Le « feeling » est évident. Le Francilien aux origines guadeloupéennes (Tacalfred) et le Strasbourgeois (Weber) s'appellent peu, mais ne se ratent pas. La veille du match aller, le Brestois a fait un saut à l'hôtel de l'Auxerrois, qui devait passer à l'hôtel des Brestois, jeudi. En octobre (1-1), le titulaire breton remontait le moral du remplaçant icaunais. Le changement d'entraîneur l'a relancé et ravivé leur complicité chambreuse. « S'il arrive à marquer des buts maintenant, c'est extraordinaire », se marre Weber, qui fait allusion à ce « une-deux avec le poteau » le 23 février, lors d'AJA - Valenciennes (2-0). Des buts, le grand en a marqué plus que le petit à Reims (7 contre 1). « Sur coups de pied arrêtés, plante Tacalfred. Je le vois mal faire une montée et déclencher une frappe ! »

Un dernier tir pour la route ? « Une anecdote, conclut Weber. C'était en Ligue 1 : dans le même match (18 août 2012 à Bastia), il prend un rouge et je prends un rouge. Deux-trois journées après, je marque contre mon camp (18 novembre à Lyon) et il marque contre son camp (12 décembre à Ajaccio)... On nous a dit qu'on était inséparables ! »



2017 Ligue 2 J29 AUXERRE BREST 1-2, le 09/03/2018



Le match


Brest, trois points et des sourires


Au terme d'une semaine riche en émotions du côté du Stade Brestois, les joueurs, restés en retrait des différentes passes d'armes entre la direction du club et Jean-Marc Furlan mercredi et jeudi, ont répondu sur le terrain en s'imposant à Auxerre (2-1). Un gros coup pour des Brestois, qui, sur le premier but de Julien Faussurier (45'), ont tous sauté dans les bras de leur entraîneur. Habib Diallo, alors que l'AJA était revenue au score, a donné un avantage définitif aux siens d'une superbe frappe en lucarne (69'). Pourtant en mauvaise posture avant cette rencontre après sa défaite à domicile face à Tours la semaine passée, Brest reste dans la course et respire. Beaucoup.

La feuille de match

Spectateurs : 8.017.
Arbitre : M. Castro.
BUTS. Auxerre : Adéoti (57'); Brest : Faussurier (45'), H. Diallo (68'). Avertissements. Auxerre : B. Touré (61'), Polomat (86'); Brest : Belaud (55').

AUXERRE : Boucher – M. Diallo (Sangaré, 75'), Tacalfred, Ba (Konaté, 89'), Polomat - Adéoti (cap), B. Touré - Ayé, Barreto (P. Sané, 72'), Philippoteaux - Yattara. Non entrés en jeu : Westberg (g), Youssouf, Fumu-Tamuzo, Ndicka. Entraîneur : P. Correa.

BREST : Larsonneur - Belaud, Chardonnet, Weber, Kiki - Pi, Grougi (cap) (Gastien, 68'), Coeff - Faussurier, Charbonnier (Autret, 85'), H. Diallo (Butin, 81'). Non entrés en jeu : Fabri (g), Magnon, Berthomier, Pintor. Entraîneur : J.-M. Furlan.



Tags : Brest, Auxerre, Weber, Tacalfred
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#Posté le lundi 12 mars 2018 05:58

Modifié le lundi 12 mars 2018 06:14

2017 MERCATO : WEBER SIGNE à BREST, le 12/06/2017



2017 MERCATO : WEBER SIGNE à BREST, le 12/06/2017
Stade brestois. Anthony Weber deuxième recrue du mercato


2017 MERCATO : WEBER SIGNE à BREST, le 12/06/2017
Anthony Weber va s'engager avec Brest pour deux années plus une en option. | Thomas Bregardis


Le défenseur central Anthony Weber (30 ans), en fin de contrat avec le Stade de Reims, s'est engagé avec le Stade brestois ce lundi. Il est la deuxième recrue brestoise de l'été, après Mathias Autret vendredi.
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Grégory Lorenzi, coordinateur sportif du Stade brestois, l'avait annoncé il y a une semaine : alors que le Brésilien Luciano Castan n'avait toujours pas prolongé, le club recherchait un autre défenseur central pour le remplacer. Anthony Weber, capitaine du Stade de Reims, était une des pistes prioritaires. Et cette piste s'est concrétisée ce lundi.

Weber va s'engager avec Brest pour deux années, plus une en option, comme Mathias Autret vendredi.




2017 MERCATO : WEBER SIGNE à BREST, le 12/06/2017
Stade Brestois. Anthony Weber : " Je sais où je mets les pieds ".

Publié le 26 juin 2017 à 16h32

L'ancien défenseur central du Stade de Reims Anthony Weber, a officiellement était présenté, ce lundi, par le Stade Brestois. A 30 ans, son expérience sera précieuse pour le collectif finistérien. > Anthony Weber, c'était la fin d'un cycle pour vous avec le Stade de Reims ?
Oui, tout à fait. Au début de la saison, j'avais déjà fait part aux dirigeants champenois que je ne souhaitais pas rester et que c'était donc mon dernier championnat là-bas. Il fallait que cela s'arrête, c'était bien clair pour moi.

> Ont-ils essayé de vous convaincre de rester ?
Oui, nous en avons rediscuté dans la compétition, avant la trêve hivernale. Nous n'étions pas tombé d'accord, mais j'avais laissé la porte entrouverte. Mais je n'étais pas vraiment chaud à l'idée de prolonger l'aventure. J'ai connu trois dernières saisons éprouvantes psychologiquement, avec des changements d'entraîneurs. Je me suis dit aussi que j'avais assez donné pour le club et qu'il me fallait un nouveau challenge, un nouvel endroit, une autre façon de travailler. Avec ma femme, nous avions convenu qu'il était important d'aller voir ailleurs.

> C'est un joli bail sept ans, de nos jours dans le football ?
Oui, c'est très bien. Il y a eu des hauts et des bas. Mais Reims, c'est là où j'ai rencontré ma femme, ma fille y est née aussi. Cette ville restera toujours dans mon coeur, surtout que ma belle-famille y vit. J'y ai aussi beaucoup d'amis. Mais pour la suite de ma carrière, il était temps de partir.

> Si Reims était monté en Ligue 1, cela aurait changé quelque chose ?
Bien sûr que j'ai envie de retrouver l'élite. Avec Reims, cela aurait été extraordinaire. Mais à un moment, je me suis résigné, j'ai senti qu'on y arriverait pas. C'était bien trop compliqué.

> Pourquoi le choix de Brest alors ?
Brest s'est positionné très vite, j'ai eu Gregory Lorenzi rapidement au téléphone. Cela m'a plu, j'ai senti qu'il me souhaitait vraiment. J'ai eu deux touches en L1, dont une avec Strasbourg mais elle tenait plus de la grosse rumeur. Le projet, ici, est intéressant, avec un coach que je connais, qui prône le jeu et je n'ai pas hésité longtemps. La présence de Jean-Marc Furlan était importante. Je sais où je mets les pieds. En terme de jeu, c'était la meilleure équipe la saison dernière et elle méritait la montée parmi l'élite. C'est un des clubs qui a le meilleur projet pour retrouver très vite la L1.


Tags : Mercato, Weber, Brest
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#Posté le mardi 13 juin 2017 00:40

Modifié le mercredi 28 juin 2017 10:39

2016 Ligue 2 J10 REIMS AUXERRE 3-0, le 30/09/2016

2016 Ligue 2 J10 REIMS AUXERRE 3-0, le 30/09/2016
une déroute qui s'ajoute à la crise




Loin de la réaction espérée après la mise à l'écart de Viorel Moldovan, l'AJA a concédé son plus lourd revers de la saison, hier soir, à Reims (3-0).

Cela va de mal en pis pour les Auxerrois. La remobilisation voulue cette semaine, après la crise provoquée par les déclarations au vitriol de Viorel Moldovan, n'a pas trouvé sa traduction sur le terrain de Reims hier.

L'espoir ajaïste d'une réaction n'a duré que dix minutes. Le temps d'offrir le premier but à Diego Rigonato sur une mauvaise appréciation de Ruben Aguilar (1-0, 10 e). En fin de match, une autre offrande, celle de Lionel Mathis à Grejohn Kyei (3-0, 84 e), sonnera comme un rappel : stérile offensivement pour la septième journée de suite, l'AJA ne pouvait définitivement rien espérer hier soir en offrant deux buts sur trois, qui plus est face à un adversaire du calibre de Reims.

L'ouverture du score rapide a compromis le plan de jeu de David Carré. Le coach intérimaire avait prévu d'être avant tout solide avec deux lignes de quatre compactes. Il avait aussi choisi de titulariser Khamis Digol au poste de milieu droit. Mais la solidité défensive a donc été rapidement éprouvée sur le centre de Hugo Rodriguez repris par Diego (1-0, 10 e). Et la volonté de se projeter vite vers l'avant a été largement surjouée. Hormis sur une frappe de Florian Ayé (14 e), l'AJA n'a pas inquiété Johann Carrasso.

À la pause, Digol, défenseur de formation, cédait sa place à Romain Montiel et ce changement allait aboutir au meilleur passage auxerrois du match. Trop précipités vers l'avant en première période, les Icaunais se sont montrés soudain plus tranchants, dans le sillage d'un Mickaël Tacalfred sonnant la charge, et plus présents, comme sur cette tête de Montiel (50 e).

Mais alors que Michel Der Zakarian venait de densifier son milieu en passant en 4-1-4-1, pour répondre au temps fort de l'AJA, les Rémois ont bénéficié d'un petit coup de pouce pour se détacher. La barre transversale du but de Zacharie Boucher renvoyait sa claquette dans les pieds de l'entrant Aly Ndom, pour le but du capitaine Anthony Weber (2-0, 62 e).

L'écart se creuse en bas de tableau

Jamais les Auxerrois n'ont pu revenir après ça, ni par la frappe pussante de Loïc Goujon (69 e), ni par le tir flottant d'Aguilar (71 e). Le troisième but, une mauvaise passe en retrait du capitaine Mathis, directement pour Kyei, éliminant un Boucher au sol, ajoutait un côté pathétique à l'affaire (3-0, 84 e).

Déjà meurtrie, l'AJA a pris une balafre de plus. Elle est toujours avant-dernière de Ligue 2, avec six points en dix matches. Le nouvel entraîneur aura bien du travail.

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LE FILM DU MATCH

6 e. Du coin droit de la surface, Conte croise trop son tir rasant du droit.
10 e. Ballon tendu de Rodriguez depuis le coin droit de la surface vers le second poteau. Diego devance Aguilar et bat Boucher, d'un plat du pied droit en cloche. 1-0.
14 e. Du coin gauche de la surface, Ayé croise du gauche, à ras de terre. Carrasso capte en deux temps.
18 e. Long centre de la droite d'Aguilar vers le second poteau où Diallo manque sa tête.
22 e. Baldé écrase trop et croise trop sa frappe du droit, à 20 m.
24 e. Ayé tente sa chance de loin mais le ballon s'envole au-dessus de la cage.

50 e. De la droite, Aguilar centre pour la tête plongeante de Montiel, au premier poteau. C'est cadré mais capté par Carrasso.
55 e. Après une touche, Courtet se retourne mais volleye bien au-dessus, du droit.
63 e. Sur un coup franc de Diego, Boucher claque sur sa barre la tête de Da Cruz. Ndom est le plus prompt au rebond et transmet à Weber qui marque de près. 2-0.
69 e. Percée de Goujon plein axe. Son tir du gauche à 20 m rase la barre transversale.
71 e. Frappe croisée flottante d'Aguilar à 25 m, du droit. carrasso capte.
75 e. Boucher repousse en corner un tir de Ndom à 25 m, dans l'axe, du gauche.
76 e. Sur le corner de Berthier, Boucher cenlève de sa lucarne la tête de Ndom.
83 e. À l'entrée de la surface, Mathis dévisse une volée du droit.
84 e. Mauvaise passe en retrait de Mathis, directement dans la course de Kyei qui évite le tacle de Boucher aux 25 m et marque dans le but vide. 3-0.
90+1. Tête de Ndom au ras du poteau sur un corner de Berthier.

Paroles de Coach

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ICI : Le match en intégralité


2016 Ligue 2 J10 REIMS AUXERRE 3-0, le 30/09/2016


2016 Ligue 2 J10 REIMS AUXERRE 3-0, le 30/09/2016
Tags : Stade de Reims, Auxerre, Ligue 2, Diego, Weber, Kyei.G
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#Posté le samedi 01 octobre 2016 00:52

Modifié le dimanche 02 octobre 2016 05:52

2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016

Grâce aux trois points pris, le Stade de Reims se replace en cinquième position au classement. Ce sont les champenois qui ont les meilleures occasions en première mi-temps et qui ouvrent le score à la 25ème minute. Sur un corner d'Oudin, Anthony Weber est à la retombée d'une volée de Da Cruz et trompe Cros. Cependant, le Red Star reprend du poil de la bête en seconde période et égalise à la 58ème minute. Un ballon intercepté de Mhirsi arrive dans les pieds d'Anatole Ngamukol qui trouve le chemin des filets, le ballon ayant touché le poteau de Carrasso avant de franchir la ligne de but. Il s'agit de la première réalisation des audoniens cette saison en championnat. Malgré une domination territoriale, le Red Star ne tient pas le score et concède un second but, un mouvement collectif à trois conclu par Hamari Traoré à douze minutes de la fin de la partie. Les parisiens ne reviendront pas et restent scotchés à la dix-huitième place.

ICI : le match en intégralité

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2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016
Reims enfonce le Red Star


La dernière affiche de la quatrième journée de Ligue 2 mettait aux prises ce lundi soir le Stade de Reims, rélégué la saison passée, et le Red Star, tout proche d'accéder à l'élite. Un choc des ambitieux entre deux clubs bien loin de leurs illustres passés, qui a finalement tourné à l'avantage des Champenois en fin de match (2-1).

Après une entame de match maîtrisée, matérialisée par une frappe sur le poteau du Cap-Verdien Odaïr Fortes (22e), Reims parvient dans la foulée à surprendre l'arrière-garde audonienne. À la suite d'un corner repris par Da Cruz, Anthony Weber surgit à la retombée du ballon pour tromper un Pierrick Cros abandonné par ses partenaires (1-0, 25e). Baldé manque la balle du break à la fin d'une première période dominée par les locaux. Le scénario du second acte sera tout autre, malgré une nouvelle occasion pour l'attaquant champenois dès la reprise. Sur une relance manquée de Johann Carrasso, Anatole Ngamukol arme une frappe lourde qui finit sa course dans les filets rémois après avoir heurté le poteau (1-1, 58e). Une égalisation qui va transcender les Audoniens, qui inscrivent là (enfin) leur premier but de la saison. Alors qu'ils semblent avoir pris le dessus sur leurs adversaires, ils vont finalement craquer dans le dernier quart d'heure. Suite à un centre en retrait de Grejohn Kyei, Hamari Traoré parvient à tromper Cros d'un tir du plat du pied droit (2-1, 80e).


ICI : Revivre le Live

S'ensuit une fin de match sans danger pour un Stade de Reims toujours invaincu, qui signe un deuxième succès en deux matchs à domicile. Avec huit points au compteur, le voilà qui remonte à la cinquième place du classement, à égalité avec le Gazélec Ajaccio et à deux longueurs du leader brestois. De son côté, le Red Star ne parvient toujours pas à décoller et reste scotché au dix-huitième rang.



2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016


Paroles de Coach


Rui Almeida : Je suis content car le niveau de notre jeu progresse lors de cette rencontre. Nous avons eu beaucoup plus le contrôle du ballon et du jeu sur 90 minutes. Malheureusement, nous encaissons ce but dans les derniers moments. Le nul aurait été plus logique, mais c'est comme ça. Marquer le premier but, enfin, c'est pas important car nous allons marquer beaucoup de buts dans ce championnat. Le plus important est la dynamique de l'équipe. Nous nous sommes procurés beaucoup de situations. A nous de confirmer cela samedi prochain face au Havre. Maintenant, le plus important est que les joueurs restent confiants dans nos capacités. Ce n'est pas évident. La défaite ne me convient pas, mais je suis content pour le contenu. »

Michel Der Zakarian : « Il n'y a pas de match évident. Il fallait faire le boulot ce soir, même si ça a été difficile dans l'attitude on a été là, on n'a rien lâché. Et on marque un joli deuxième but. On a assez de qualité pour jouer, il faut encore plus de mobilité pour être plus juste et faire les bons choix. Tout le monde doit encore prendre ses repères. »

2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016


La situation disciplinaire

2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016


Le classement général

2016 Ligue 2 J04 REIMS RED STAR 2-1, le 22/08/2016
Tags : Ligue 2, Red star, Traoré, Weber, Stade de Reims
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#Posté le mardi 23 août 2016 02:02

Modifié le jeudi 25 août 2016 23:31

2016 MERCATO : TACALFRED non prolongé, le 31/05/2016

2016 MERCATO :  TACALFRED  non prolongé, le 31/05/2016


Ils rendent hommage à Tacal...

Capitaine exemplaire, Mickaël Tacalfred a marqué de son empreinte nombre de ses coéquipiers au Stade de Reims. Trois d'entre eux ont pris la parole et reviennent sur leur aventure commune avec « Tacal » sous le maillot Rouge et Blanc.

Anthony Weber : « Je suis triste de son départ. Je sais qu'il aurait aimé poursuivre l'aventure ici... Tacal, c'est un grand frère pour moi comme pour une grande partie du vestiaire. On a connu la montée ensemble, on a fait les 38 matchs tous les deux dans la charnière centrale l'année de la montée pour finir dans l'équipe type de la Ligue 2. Forcément, j'ai une connexion particulière avec lui, je l'apprécie énormément, c'est Tacal quoi ! Quand je suis arrivé, j'étais un minot de 24 ans, et je dois dire que j'ai beaucoup appris à ses côtés. C'est quelqu'un de réservé, pas le genre de mec qui fait n'importe quoi. Je dirais que c'est une force tranquille. Il ne parle pas énormément, ce n'est pas quelqu'un qui s'exprime par la parole mais plus par des actes. Sur le terrain, dans son travail quotidien, il a toujours été exemplaire. C'est un capitaine plus par l'exemplarité que par la parole. J'espère qu'il retrouvera un club et un projet très rapidement, il a prouvé qu'il pouvait encore beaucoup apporter à un groupe. »

Cédric Fauré : « J'ai rencontré Micka à mon retour du Havre, au mois de janvier 2009, on s'est tout de suite très bien entendu. On habitait à Muizon tous les deux, nos femmes ont sympathisé, on rigolait bien à chaque fois qu'on allait manger ensemble ou boire un verre et aujourd'hui encore, on est resté très proche. Je l'appelle toujours « Timal » quand on se parle. Ça veut dire « frère » en créole, c'est quelque chose d'affectif. Sur le terrain, lorsque je jouais à ses côtés, c'était une force tranquille. Il était très calme et en même temps très puissant et costaud, il dégageait quelque chose ! Il était capitaine, moi, un des plus anciens à l'époque, on était écouté et on allait tous les deux dans le même sens lorsqu'on prenait la parole... Sportivement, on a fait de belles choses ensemble, on a connu les montées et surtout celle en Ligue 1 alors qu'on nous prédisait l'enfer en début de saison... On avait un groupe sain et Micka, dans son rôle de capitaine, faisait partie des joueurs qui étaient capables de le gérer. C'est une personne discrète dans la vie mais qui avance et aujourd'hui il en est arrivé à 250 matchs avec le Stade de Reims. Je pense que ça doit lui faire quelque chose de quitter le club, le plus bizarre, c'est sans doute quand on retrouve un autre groupe et que l'on réalise qu'on est plus à Reims, mais il restera dans les pages de l'Histoire du club ! »

Johann Ramaré : « Quand je suis arrivé au Stade de Reims, c'était déjà un ancien dans le vestiaire, il avait vécu beaucoup de choses avec le club. J'ai découvert quelqu'un de très à l'aise avec tout le monde. Il faisait avec Alex Barbier et Cédric Fauré, partie des cadres. Je me rappelle qu'à son poste de latéral droit, ça se passait moyennement bien pour lui. Le coach avait alors fait une fois appel à lui dans l'axe, il a tout de suite fait ses matchs et il a toujours su hausser son niveau de jeu en défense centrale, même en Ligue 1 ! Son adaptation en défense centrale est à son image, Tacal met l'intérêt du collectif avant le sien. c'est aussi quelqu'un de très posé, de vraiment cool. Il ne se prend pas la tête et est très facile à vivre. Je trouve cela beau d'avoir joué 250 matchs. À l'avenir, ce sera de plus en plus rare. C'est une preuve de fidélité. La chance qu'il a pu avoir, c'est qu'il a évolué en même temps que le club qui est remonté en Ligue 1, ça inspire forcément beaucoup de respect. Comme toutes les aventures de club, ça se termine un jour mais je pense que Micka a vécu de belles choses avec Reims et son nom y sera à jamais associé ».
Tags : Mercato, Tacalfred, Brèves16, Weber, Fauré, Ramaré
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#Posté le mardi 31 mai 2016 11:26

Modifié le mardi 31 mai 2016 23:56

2015 Ligue 1 J14 MONTPELLIER REIMS 3-1, le 21/11/2015

2015 Ligue 1 J14 MONTPELLIER REIMS 3-1, le 21/11/2015
Montpellier renverse Reims et se donne de l'air

Menés dès le premier quart d'heure, les hommes de Courbis ont eu les ressources pour renverser la tendance (3-1). Peu dangereux, Reims continue de s'enfoncer.

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Le gagnant : Ryad Boudebouz

Si Montpellier, qui a vu Morgan Sanson faire son retour, a dominé et a su se montrer dangereux, il en est pour quelque chose. Ryad Boudebouz a réalisé un match plein, se montrant très disponible pour ses coéquipiers. C'est dans ce rôle là que le Montpellier de Rolland Courbis a besoin de l'Algérien. C'est lui qui a été à l'initiative de l'égalisation montpelliéraine (1-1, 21e). Après un corner, Boudebouz bottait, Dabo effleurait le ballon et trouvait Yatabaré seul à un mètre de la ligne d'Agassa. Boudebouz a ensuite continué à toucher beaucoup de ballons et, de nouveau sur corner, il a offert à Bryan Dabo le but du K-O à six minutes de la fin (3-1, 84e). Le match était plié.

Le perdant : Aïssa Mandi

À ce qui paraît, le Stade de Reims avait retrouvé des valeurs. Des valeurs défensives et une solidité qui devait lui faire passer des soirées moins difficiles que la saison dernière. Depuis octobre, elles ont disparu. Et samedi soir, Aïssa Mandi a symbolisé cela. Pas assez vigilant sur l'égalisation du MHSC, l'international algérien s'est manqué sur son placement lors du deuxième but de Camara. Sur un long dégagement de Pionnier, Mandi venait au duel avec un coéquipier et jugeait mal la trajectoire du ballon. Au plus grand bonheur de Souleymane Camara qui n'en demandait pas tant et qui filait seul au but pour ajuster Agassa (2-1, 69e). Un but qui pendait au nez des Rémois qui n'avaient, à ce moment, aucune maîtrise sur ce match. Pourtant, Anthony Weber, d'une magnifique tête, avait bien mis les siens sur les bons rails (0-1, 12e). Suite au but de Camara, Reims aurait presque mérité le point du nul tant Diego s'est démené pour. Mais le Brésilien a trouvé la barre sur coup franc (77e) et a vu sa frappe des vingt mètres frôler l'equerre de Pionnier (81e). Les hommes de Guégan continuent leur série inquiétante : les voilà avec sept défaites consécutives toutes compétitions confondues...


Ici : revivre le live

La stat : 2

Après son début de saison catastrophique, Montpellier enchaîne deux victoires de rang pour la première fois en 2015/16. Les voilà avec quinze points et trois longueurs d'avance sur la zone rouge. Et pour voir le MHSC gagner deux fois de suite, il fallait remonter à la fin du mois de février 2015. Une éternité.
Timothé Crépin





2015 Ligue 1 J14 MONTPELLIER REIMS 3-1, le 21/11/2015
Montpellier l'emporte 3 à 1 face à Reims


Sorti de la zone de relégation à la faveur de ses 8 points pris lors des 4 dernières journées, le MHSC a profité de la venue de Reims, ce samedi soir à La Mosson, pour confirmer sa nouvelle dynamique grâce à 3 buts de Yatabaré, Camara et Dabo. Score final : 3 à 1.

2015 Ligue 1 J14 MONTPELLIER REIMS 3-1, le 21/11/2015

Montpellier a poursuivi son redressement en s'imposant 3-1 devant le Stade de Reims, en pleine dégringolade, en signant sa quatrième victoire d'affilée au stade de la Mosson, samedi, lors de la 14e journée de Ligue 1. L'équipe de Rolland Courbis, qui a pris quatorze points lors des sept dernières journées, se retrouve pour la première fois de la saison à la 14e place et compte surtout trois points d'avance sur la zone de relégation, en attendant la clôture de la journée.

Morgan Sanson : un retour profitable

Montpellier, invaincu depuis cinq matches, a pleinement profité du retour de Morgan Sanson après plus de sept mois d'absence en raison de sa grave entorse au genou. De son côté, Reims poursuit sa descente vers le bas du classement (15e) après cette sixième défaite consécutive en Ligue 1. Montpellier s'est imposé grâce à deux buts de ses attaquants : Mustapha Yatabaré et Souleymane Camara, qui se sont relayés au poste d'avant-centre, et un autre en fin de match du défenseur Bryan Dabo. Les deux attaquants ont débloqué une rencontre où l'équipe de Courbis a peiné au milieu de terrain pour se défaire de l'organisation compacte des Champenois.

Reims ouvre le score

Mais c'est Reims qui surpris le premier la défense héraultaise à la suite d'un coup franc de Diego repris de la tête par le défenseur central Anthony Weber (12e). Moins de dix minutes plus tard (21), Montpellier répliquait de la même manière. Sur un corner de Boudebouz, prolongé par Dabo, Yatabaré, arrivé fin août, inscrivait son premier but de la saison d'une tête piquée. Dans un match pauvre en occasion, Camara donnait l'avantage à Montpellier en exploitant un long dégagement du gardien Laurent Pionnier (69). Peu après que le milieu rémois Diego ait frôlé l'égalisation sur deux frappes (78e et 81e), Dabo scellait un important succès pour Montpellier, en reprenant de la tête un corner de Boudebouz (84).

Ici : le match en intégralité

Paroles de Coach

Olivier Guégan : «On était dans le match. On avait le score, ce qui est positif à l'extérieur. On prend trois buts évitables, deux sur coups de pied arrêtés et un troisième sur un dégagement de quatre-vingt mètres du gardien, qui nous fait mal. C'est pénible, car c'est répétitif et ça m'agace fort. Mais, il va falloir rester costaud et uni. J'ai un groupe qui a de la qualité. On est dans une période négative, mais cela va s'inverser un jour. Pour cela, il faut mettre les bons ingrédients et faire plus. À nous de faire preuve d'orgueil et d'amour propre pour prétendre inverser la tendance. On savait qu'il ne fallait pas faire de fautes. Avec Boudebouz en frappeur, Montpellier est armé. Il va falloir fermer les écoutilles au moment où le bateau tangue. On va inverser la tendance assez rapidement.»


Rolland Courbis : «On a fait un début de match crispé dans un contexte compliqué. On s'est amélioré au fil du match pour obtenir une victoire méritée. Quand on prend un point lors des sept premières journées, on n'envisage pas d'en prendre quatorze sur les sept suivantes. On a réussi à rester calme, à se serrer les coudes. C'est un bilan arithmétique impressionnant. On prend des points car on a fait des progrès, car Yatabaré, arrivé tardivement, s'adapte, car Boudebouz va mieux et que les recrues sont performantes.

2015 Ligue 1 J14 MONTPELLIER REIMS 3-1, le 21/11/2015
Tags : Montpellier, Ligue 1, Weber, Stade de Reims
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#Posté le dimanche 22 novembre 2015 02:16

Modifié le lundi 23 novembre 2015 00:58

2015 REIMS : les dessous de WEBER, le 22/07/2015

2015 REIMS : les dessous de WEBER, le 22/07/2015

Anthony Weber : « Mon échauffement est perturbé si je ne porte pas le bon caleçon »


Blessé l'an passé au tendon d'Achille, Anthony Weber devrait récupérer cette saison sa place dans la charnière centrale du Stade de Reims. Pour sa quatrième saison en Ligue 1, l'ancien de Strasbourg et du Paris FC revient sur sa convalescence, sa passion pour la NBA et son goût pour les vieux sous-vêtements.


2015 REIMS : les dessous de WEBER, le 22/07/2015
Anthony Weber

Tu as manqué l'essentiel de la saison passée à cause d'une rupture du tendon d'Achille en avril 2014 contre Nice. J'imagine que les souffrances de la préparation d'avant-saison passent mieux avec l'envie de faire une saison pleine ?
Tout à fait, quand on revient de blessure, on a une préparation tronquée. Celle d'avant-saison et celle en cours de saison ne sont pas pareilles. Là, cela se passe bien, je me sens bien, et je suis revanchard par rapport à la saison passée. J'ai une grosse envie.

Toi qui n'as disputé que 13 matchs la saison passée, tu vas être un peu comme une recrue pour Reims ?
Presque. L'important pour moi est d'être bien physiquement, de ne pas être gêné par des pépins physiques comme sur la saison passée et retrouver mon niveau. Je suis sur la bonne voie.

Quand on a été blessé sérieusement comme toi, a-t-on une appréhension au moment de revenir ?
Bien sûr, mon tendon a été raide pendant un long moment, il a fallu énormément de soins et de travail pour l'assouplir. Même si tout le monde me disait qu'il était solide et qu'il y avait peu de chances que cela pète à nouveau, il y avait une petite crainte, forcément. Au fil des jours, des séances d'entraînement et des matchs, cela a disparu.

C'était quoi le plus dur à supporter entre le jour où tu t'es blessé en avril et ton retour à la compétition en décembre ?
Être à l'écart du groupe. J'étais parti un mois en rééducation à Cap-Breton, et c'était la période justement où le groupe reprenait l'entraînement. Je me sentais mis à l'écart, même si ce n'était pas le cas. C'est toujours compliqué de ne pas être avec le groupe. Et la rééducation a été longue et difficile parce qu'un tendon est toujours difficile à consolider. J'ai dû faire pas mal de séances d'assouplissement du tendon, mais aussi de la musculation du mollet gauche, car j'avais perdu toute ma force musculaire à la jambe gauche. J'ai dû travailler énormément pour retrouver tout ça.

Tu t'es inquiété pour ta place de titulaire ?
À ce moment-là, je ne me posais pas la question. L'important pour moi, c'était de revenir le plus vite possible, je ne me concentrais que sur cela. Une fois qu'on se sent prêt physiquement, apte à reprendre les matchs de Ligue 1 et qu'on ne joue pas, forcément, c'est difficile. J'ai presque attendu trois mois avant de rejouer un match après la reprise des entraînements, c'était compliqué.


L'objectif du club cette saison reste le même, le maintien avant tout ?
Pour l'instant, on n'a pas eu ce type de discours de la part du coach ou du président, mais on ressent de l'ambition au club. On n'a pas envie de refaire une saison comme on vient de vivre, c'est-à-dire galérer pour le maintien jusqu'à la dernière journée. Toutes les saisons sont différentes, on a l'esprit revanchard et l'envie de donner du plaisir à nos supporters, avec du bon football, de bons matchs à domicile, car c'était compliqué la saison passée. On va faire le maximum. Après, on ne sait jamais, une grosse saison est vite arrivée. Il y a quelques années, personne ne nous voyait monter en Ligue 1 et pourtant, on l'a fait. Pourquoi pas créer la surprise et finir dans la première partie de tableau, 10e ou 11e comme il y a deux ans ?

La saison passée, après une très bonne première partie de saison, les résultats se sont dégradés jusqu'au départ de Jean-Luc Vasseur. Comment expliques-tu ces difficultés hivernales autrement que par la Coupe d'Afrique des nations ?
La CAN a certainement joué avec le départ de quatre joueurs titulaires, cela a été compliqué. Perdre quatre joueurs importants alors qu'on est dans une belle dynamique, forcément, ça la casse. Et puis il y a eu des soucis en interne avec l'entraîneur, une cassure entre les titulaires et les remplaçants. Des choses se sont passées dans le vestiaire, on n'a pas su s'asseoir autour d'une table et dialoguer. Ou plutôt, on l'a fait, mais trop tard. C'est aussi pour cela que la seconde partie de saison était compliquée.

La gestion humaine des remplaçants n'avait pas fonctionné ?
C'est ça (il hésite). C'est toujours compliqué d'être remplaçant, mais là, c'était dur à vivre, car on était mis de côté et on ressentait que le coach avait besoin de certains joueurs et pas de tout le monde. Pas mal de joueurs ne se sentaient plus trop concernés par la vie de groupe et les résultats du club, car on était laissés sur le carreau.

Jusqu'à présent, ton plus beau souvenir à Reims, c'est la montée en 2012 ou les maintiens ?
Le plus fort, c'est la montée en Ligue 1. C'était extraordinaire de redonner aux supporters, au club, à la ville, une montée en Ligue 1, 33 ans après. À mon arrivée au club, je sentais qu'il y avait une grosse attente, faire ce que l'on a fait, ce n'était pas évident. L'année d'avant, on avait été 10es de Ligue 2. À la trêve, on était 19es et monter en Ligue 1 n'était pas l'objectif du club en début de saison. Au fil des matchs, on a senti qu'on pouvait le faire, on avait un groupe extraordinaire, une bande de potes qui ne se prenaient pas au sérieux, on s'entendait tous très bien en dehors du terrain et on faisait énormément d'activités ensemble. Cela se ressentait sur le terrain.

Une aventure humaine qui ressemble à la génération 87 à Strasbourg avec laquelle tu as gagné la Gambardella en 2006...
Exactement, c'était le même cas de figure que notre montée avec Reims, on était vraiment, vraiment des potes. Il n'y avait pas de remplaçant, pas de titulaire, on était ensemble, c'est tout. C'est grâce à ça qu'on est allés au bout, car on n'avait pas la meilleure équipe sur le papier, Lyon était largement meilleur que nous. On s'est qualifiés contre Lens alors qu'ils devaient nous massacrer 3 ou 4 à zéro, et finalement, on est passés aux penalties. On était tellement soudés, avec une telle envie d'être ensemble, que cela a fait la différence.


De cette génération, à laquelle on peut ajouter Morgan Schneiderlin qui est de 89, mais qui était souvent surclassé, très peu ont eu leur chance en équipe première au Racing. Toi, tu as dû partir au Paris FC. Comment tu expliques que le club n'ait pas fait plus de place pour vous ?
On venait de descendre en Ligue 2, le président voulait absolument remonter l'année suivante, ils ont misé sur des joueurs d'expérience et moins sur la formation. Cela a peut-être été une erreur de leur part sur le long terme. Seuls Romain Gasmi et Kevin Gameiro avaient commencé à jouer en professionnel.

C'est vrai que tu aimerais devenir formateur après ta carrière ? Il y a des gens qui t'ont inspiré à Strasbourg ?
Je veux rester dans le football, ça, c'est sûr, et entraîner des jeunes me plairait vraiment. Ce que j'ai vu du métier de formateur avec François Keller (à l'époque entraîneur de la réserve, ndlr) et Claude Fichaux (éducateur au centre de formation à l'époque, ndlr), ce n'est pas qu'une relation joueur/entraîneur, mais bien plus que cela. De temps en temps, on s'envoie des textos, on s'appelle... Quand je les ai vus exercer à ce poste-là, cela m'a plu, cette vision du métier m'attire. Après, quand j'étais sous leurs ordres, on n'était pas forcément trop proches, il ne faut pas, mais on sentait qu'il y avait des liens d'amitié, et quand j'ai commencé à jouer en pro, à ne plus être avec eux, j'ai compris qu'on avait créé un lien fort.

En dehors du foot, ta passion, c'est le basket NBA ?
Exactement ! Je ne peux pas voir tous les matchs, car ils sont super tôt le matin, ce n'est pas possible pour moi. Mais je regarde NBA Extra sur beIN, je ne la rate jamais. Je ne supporte pas vraiment une équipe, mais je suis fan de Derrick Rose, donc forcément je suis fan des Chicago Bulls aussi. Sa façon de jouer, de se déplacer, il est super dynamique. Il n'est pas très grand (1,91m, ndlr), mais quand je le vois dunker, j'ai l'impression qu'il fait deux mètres comme Tim Duncan ou d'autres joueurs comme Lebron James. Il y a Stephen Curry aussi dans un registre plus élégant avec une technique extraordinaire. J'admire chez eux leur dévouement au travail, ce que l'on a peut-être moins, nous, les footballeurs. J'ai vu une fois un reportage sur Lebron James après sa deuxième finale perdue en NBA. Au lieu de partir en vacances, il était parti environ un mois pour une tournée marketing avec Nike, il avait emmené deux ou trois entraîneurs avec lui pour bosser dès qu'il avait du temps libre. Ils gagnent des millions de dollars et restent des monstres de travail et de grands athlètes.

Superstition : tu en es toujours à porter le même caleçon en match ? Combien d'années ?
C'est vrai, c'est vrai. J'ai changé il y a quelque temps, car l'ancien était en morceaux. Cela fait trois ans que je porte le même. Je ne sais pas comment on en vient là, mais c'est souvent assez idiot. Quand j'ai marqué contre Lille mon premier but en Ligue 1 (le 15 décembre 2012, ndlr), je me souviens du caleçon que je portais. Depuis, c'est toujours le même que je porte en match.

C'est un truc d'Alsacien ou quoi ? Frank Leb½uf le faisait aussi quand il jouait à Strasbourg...
Je sais pas... Leb½uf le faisait aussi ? Tu me l'apprends ! (rires) C'est un truc que je ne faisais pas quand j'étais plus jeune. J'ai commencé à le faire au Paris FC. Je ne sais pas si on s'imagine assurer le succès de notre carrière en faisant ça, mais cela permet de se sentir bien. Cela peut perturber mon échauffement de savoir que je ne porte pas le bon caleçon...

Propos recueillis par Nicolas Jucha
Tags : Weber, Brèves15, Stade de Reims
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#Posté le jeudi 23 juillet 2015 05:11

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE 1-1, les + du Blog, 18 décembre 2012

Le résumé de France 3 Nord Pas de calais

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Les statistiques

Du match

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE 1-1, les + du Blog,  18 décembre 2012

Générales

- Reims a mis fin à une disette de 699 minutes en L1 – il fallait remonter au 27 octobre pour voir un joueur rémois trouver les filets adverses, il s'agissait d'Aissa Mandi face à Troyes. Entretemps, Reims avait marqué mais c'était sur un CSC de Cédric Cambon contre Evian TG (10 novembre).
- Reims n'a perdu qu'un seul de ses 9 derniers matches à domicile en L1 (1-2 contre Evian TG, 10 novembre), pour 4 victoires et 4 nuls.
- Reims n'a gagné aucun de ses 10 derniers matches de L1, seul Nancy connait une plus longue disette actuellement (16). Il faut remonter au 6 octobre pour voir les champenois gagner en L1, c'était contre Nice (3-1).



L' équipe type de la 18ème journée du journal L' Équipe

On notera la présence d' Aïssa Mandi

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE 1-1, les + du Blog,  18 décembre 2012

Le Classement

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE 1-1, les + du Blog,  18 décembre 2012
Tags : Reims, Lille, Weber, Ligue 1
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#Posté le jeudi 20 décembre 2012 06:47

Modifié le jeudi 08 août 2013 10:06

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE 1-1, le 15 décembre 2012

Ici : le match en intégralité


2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE  1-1,  le 15 décembre 2012

Le LOSC rate encore le coche pour aller voir plus haut


Le LOSC agace, ses adversaires de temps en temps, ses observateurs de plus en plus. Hier, les Lillois avaient, en passant par Reims, un promu en difficulté, l'opportunité de rejoindre la cinquième place. Un scénario quasi inespéré avec des résultats aussi irréguliers, qui n'était pas sans rappeler une situation vécue au soir de la treizième journée quand Lille s'était rendu à Lorient pour devenir leader.

Comme en Bretagne, les Nordistes n'ont joué qu'une période. Cette fois, ils ont fait mieux en prenant un point, mais les regrets et la frustration sont identiques. Le LOSC reste englué dans le ventre mou de la L1 et voit l'écart avec les cinq premiers se creuser. Si le PSG l'emporte ce soir contre Lyon, les hommes de Rudi Garcia auront neuf points de retard sur le podium. Ça commence à faire beaucoup pour une équipe qui a autant de mal à gagner ses matchs.

Pauvres techniquement

Ça deviendra mission impossible rapidement si les Nordistes laissent constamment l'équipe d'en face prendre confiance. Ainsi a-t-il fallu à peine sept minutes à Reims, la plus mauvaise attaque d'Europe sur les neuf derniers matchs, pour tromper la vigilance d'Elana (1-0, 7e). Par un défenseur qui plus est. Le LOSC ratait encore son entame de match et ses quarante-cinq premières minutes étaient même catastrophiques. « Le coach a choisi de sortir Ronny et Florent à la pause mais il aurait pu sortir n'importe lequel d'entre nous. On n'a pas gagné un duel », résuma Mathieu Debuchy. Sans la maladresse rémoise (17e, 27e) et Elana (arrêt décisif devant Ayité, 38e), la situation aurait même pu être plus délicate pour les Dogues, à la pause.

L'enchaînement des rencontres est un argument sans doute recevable mais il n'explique pas tout. Comment les Lillois ont-ils pu manquer autant d'envie, être dominés autant dans l'impact et si pauvres techniquement ? En laissant Mavuba, Martin et Kalou sur le banc, Rudi Garcia avait apporté de la fraîcheur.

Chedjou et Balmont ont alors paru bien seuls pour répondre au pressing des Rémois. La réaction des Nordistes fut aussi trop longue à se dessiner. On peut quand même noter l'apport positif de Kalou. D'une reprise (48e) puis d'une frappe enroulée (59e), l'Ivoirien taquina Agassa. Il y eut aussi cette frappe de Gueye de trente mètres que le gardien de Reims négocia en deux temps (62e).

Heureusement, au LOSC, en ce moment, il y a un Dimitri Payet décisif. Le Réunionnais est d'ailleurs impliqué sur six des huit derniers buts nordistes. Après deux tentatives infructueuses (16e, 25e), l'attaquant a permis au LOSC d'arracher un point d'un splendide petit coup de patte (1-1, 71 e). Le minimum syndical face à des Rémois qui ne boxaient pas dans la même catégorie mais qui auraient pu l'emporter sans un dernier arrêt d'Elana (90e + 2).

Décidément, Lille fait du surplace. À une semaine de recevoir Montpellier, champion de France en titre, en pleine bourre avec cinq victoires en six matchs, le LOSC agace...

À REIMS, PAR OLIVIER FOSSEUX



Le résumé du match

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Paroles de Coach

Rudi Garcia (entraîneur de Lille) : «On avait plutôt l'impression qu'on jouait un match amical en première période. Aucune combativité, aucune agressivité. On était battu dans tous les duels. Heureusement qu'on a rectifié le tir en deuxième période. C'est compliqué de gagner un match en ne jouant qu'une période. C'est assez inexplicable de voir cette première période quand on voit ce qu'on a fait à Sochaux et contre Toulouse, en termes d'investissement et d'agressivité. Même si je n'oublie pas qu'on a joué neuf matches en 27 jours. Pour certains, il y avait les jambes lourdes. Si on ne gagne pas, on n'avance pas.»

Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : «Je suis déçu parce qu'il y avait moyen de gagner ce match. On s'est donné les moyens. Il manque un peu de réalisme. Si on arrive à concrétiser une ou deux occasions pour passer à 2-0, le match est plié. Le regret est là. La prestation est satisfaisante mais le résultat ne correspond pas à tous les efforts qu'on a fournis. En deuxième mi-temps, cela a été dur. Les joueurs ont fait plus que rivaliser face à cette équipe du Losc. Autre bonne note de la soirée: on est content d'avoir réussi à faire trembler les filets. On se faisait assez chambrer. Cela contribue à adoucir un peu les sentiments de cette soirée.»


La feuille de match

Suite à son nouveau carton jaune ( 3 en dix matches ) Krychowiak sera suspendu pour le match de 32ème de finale de la coupe de France,face au club évoluant en CFA Plabennec

2012 Ligue 1 J18 REIMS LILLE  1-1,  le 15 décembre 2012


Les notes de L'ÉQUIPE

7/10 Agassa
6/10 Mandi, Weber, Signorino.Tacalfred , Fortès, Diego Courtet
5/10 Krychowiak
4/10 Ca
3/10 Ayité

Tags : Reims, Lille, Weber, Ligue 1
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#Posté le samedi 15 décembre 2012 19:17

Modifié le mardi 11 octobre 2016 00:24

2012 REIMS : Brèves du jour, le 21 novembre 2012

Discipline : Pas de tenue de Souaré , pelouse interdite

2012 REIMS : Brèves du jour, le 21 novembre 2012
L'habit ne fait pas le latéral

C'est Signorino qui va être content au rythme où Pape Souaré ramasse les cartons, le sénégalais pourrait bien avoir une proposition du sponsor Calberson.
Après avoir écopé un match ferme + un match avec sursis suite à son carton rouge reçu à Rennes, Pape Souaré a reçu un carton jaune à Lyon dés son retour sur la pelouse et sera donc automatiquement suspendu pour le prochain déplacement à Valenciennes.
Rappelons que Krychowiak et Ghisolfi sont eux aussi en danger , en cas de nouveaux carton jaune lors des prochains matches.

Le CSC nouveau est arrivé

On était à la recherche de ce fameux CSC qui avait marqué quand même trois buts pour nos couleurs, et voilà que Anthony Weber a endossé le rôle à Gerland face à Lyon.
C'est son agent qui a du être furieux. Ils avaient en effet rendez vous avec la Direction du club pour le renouvellement potentiel du contrat du numéro 25 Rémois.

Toujours pas de Directeur sportif, espérons que Catherine Caillot ait pu délaisser quelques instants ses fourneaux ( son Prince de mari ayant indiqué un jour " qu'elle avait la recette "8-p ) pour mener de telles négociations.



Lièbus : Des Thiolettes au siège

On n'a pas pour habitude de le voir pantoufler notre Yo.
N'empêche que sa candidature ( certes en position non éligible ) montre son implication permanente dans le monde du football.

2012 REIMS : Brèves du jour, le 21 novembre 2012
Avec la taille de celles des footballeurs,
on va pouvoir mettre des centaines de bulletin

La course à la présidence de la Fédération française de football est définitivement lancée. Le comité exécutif en place a en effet validé ce lundi les trois listes, qui seront soumises aux suffrages de l'Assemblée élective de la FFF le 15 décembre prochain.

Liste présentée par M. Noël Le Graët :
N°1 : Président Noël LE GRAET

Liste présentée par M. François Ponthieu :
N°1 : Président François PONTHIEU

Liste présentée par M. Eric Thomas:
N°1 : Président Eric THOMAS
N°2 : Vice-président Délégué André LOCUSSOL
N°3 : Secrétaire Général Yves FICHET
N°4 : Trésorier Général Gérard LAJOIE
N°5 : Dominique GOUMANE
N°6 : Elisabeth SIMON
N°7 : Daniel LOUIS
N°8 : Roselyne MACARIO
N°9 : Olivier DUMON
N°10 : Johan LIEBUS



Des nouvelles de nos EX


Le maître sait la mettre !!!!

En cette période de grande réflexion sur l'organisation sociétale en France, ne pensez surtout pas en voyant ce titre , que je prenne une quelconque position 8-p sur le "mariage pour tous ".
Non cette brève est essentiellement destinée à Kamel Ghilas et à Diego Rigonato afin qu'il prenne exemple sur Cédric Fauré quand ils tirent un coup de pied de réparation.
Quand Cédric tire , cela semble si facile

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Létang : le PSG , une voie de garage

La quasi totalité des supporters se demandait bien ce que CPC d' Olivier Létang allait réellement faire dans le club de la capitale

2012 REIMS : Brèves du jour, le 21 novembre 2012

Sa première action médiatique : l'épineux sujet du parking :D

Celui du staff est tout près de l'entrée, tandis que celui des joueurs se situe 200 mètres plus loin. Or certains, notamment Ibrahimovic, se garent au plus près sur des places réservées, et cela ferait grincer des dents en interne. Létang a donc décidé qu'il était temps de mettre fin à tous ces privilèges pour renforcer la cohésion du groupe.

Oui mais voilà, à Paris il y a du répondant

" Star incontestée du Paris SG depuis son arrivée en juillet dernier, Zlatan Ibrahimovic avait pris l'habitude de stationner son Audi sur les places réservées au staff au Camp des Loges.

L'attaquant suédois aurait alors eu la mauvaise surprise de se voir rediriger vers le parking principal, celui où se garent ses coéquipiers, ces derniers jours. Une directive que le joueur n'a que peu apprécié puisqu'il aurait refusé de se plier aux règles, laissant finalement son véhicule devant l'entrée et bloquant les autres véhicules durant tout l'entraînement après s'être énervé contre le vigile. Le quotidien Le Parisien nous informe que tout serait cependant rentré dans l'ordre depuis... "

Aux dernières nouvelles , le géant suédois aurait demandé une vingtaine de cartes d'accès pour ses voitures personnelles ( Plusieurs Ferrari, dont une Enzo et une 360 Spider, quelques Porsche, et notamment un Cayenne et surtout une Carrera GT, mais également une Lamborghini Murciélago, un Hummer, une Audi S8 et un Q7, pour ne citer que quelques-unes de ses berline luxueuses, 4X4, GT et supercars. Mais Ibra n'oublie pas pour autant son pays la Suède, puisque le buteur roule aussi en Volvo, la C30 T5 de 230 chevaux.).

Si j'avais un conseil à donner à CPC d'Olivier Létang, c'est d' acheter une paire de chaussures de sureté, car quand Zaltan n'est pas content au volant ,ça peut faire mal ; on se souvient qu'une journaliste italienne l' accusa un jour (a priori à tort) de lui avoir roulé volontairement sur le pied avec son véhicule à la sortie d'un entraînement .
Trop Fort le Zaltan 8-p
Tags : Reims, Létang, Fauré, Souaré, ex-rémois, Weber
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#Posté le mercredi 21 novembre 2012 10:43

Modifié le mercredi 21 novembre 2012 12:45

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